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Rites d'un franc-tireur

Idylles et lyrismes, abîmes et clés alchimiques...

Mademoiselle liberté

Mademoiselle liberté
Mademoiselle liberté

Sagesse

Un peu d’humour, un peu d’amour, et le sens de la vie retrouve ses réjouissances,
Un plaisir inouï à retracer chaque souvenir, chaque rêve en ta présence ;
Prends le temps de renaître et de boire à la source tout le content de tes songes,
L’esprit qui nous fait vivre consolera tes douleurs et pansera tes plaies tant que le mal te ronge ;

L’adoration des âmes est un jeu de patience où le sentiment du désir,
Prends corps tout doucement, en débordant du présent, pour combler son avenir,
Un cœur fidèle par tendresse peut émerger des pensées qui s’apaisent,
Au fil des jours heureux que l’on conquiert pour qu’un ange apparaisse ;

L’art du bonheur est la voie de liberté et de paix d’où sortira ta vérité,
La parole des sages pour faire germer en toi la lumière et l’unité,
Métamorphose de ton être dans les profondeurs intérieures,
La déesse te guidera là où le soleil donne sa plénitude et l’ombre sa fraîcheur ;

Douceur qui vagabonde au sein de la raison des filles de lune,
Le voile des émotions qui t’élèvent se lèvera sur ta fortune,
Ta bonne étoile brille au milieu du ciel, elle t’éclaire et scintille,
Car la vie a mis en toi la fougue de l’enfance, l’innocence chérie ;

Spontanée et bénie par l’impulsion de ta nature et ton désir le plus pur,
Tu es capable de soulever des montagnes et de partir à l’aventure,
Les yeux dans les yeux, tu peux transfigurer la face des dieux,
Tu peux rassurer tous ces mômes, accompagner leurs jeux ;

Tu as en toi les dons féconds de la mère des astres et des cieux,
Au point d’équilibre où tu as touché terre, j’ai aperçu un feu,
Le foyer de ton âme resplendissait d’une lueur évanescente,
Et j’ai parcouru tous les mondes pour que la vie m’enfante ;

Perfection androgyne, féminine présence de ta douceur immaculée,
Ta compassion est pour moi cette onde positive qui se transmet dans tes baisers,
Tu peux confier ton cœur à ma plume, ta liberté à mes poèmes,
Le secret de mon art pour révéler à tous que tu es celle que j’aime.

Vertu

L’énergie positive à peine retrouvée,
Mon ange se met à chanter,
Pour le bonheur et la tendresse,
De mon cœur qui s’apaise ;

Il veille jour et nuit,
Sa joie me pacifie,
Sa grâce de fils du ciel,
Eclaire les enfants du soleil ;

Sans laisser place au hasard,
Dans le grand œuvre de mon art,
Son âme m’épincelle,
Dans l’alchimie spirituelle ;

Inspiration divine,
Son souffle m’illumine,
Heureux de me guider,
Il me comble de bonté ;

Son désir me transcende,
Ma mie en est friande,
Dans la peau d’un guerrier,
Sa lumière est ma beauté ;

Pur esprit de paradis,
C’est parfois lui qui me prie,
Je suis un peu rebelle,
Devant la vie éternelle ;

Pardonne-moi mon frère,
Messager très sincère,
Console encore la peine,
De ma nature humaine ;

Tu es l’eau vive de mon corps,
La providence de mon sort,
Le bras armé de ma justice,
Et l’espoir de mes fils ;

Ne laisse pas à l’abandon,
La foi dont tu m’as fait le don,
Ton courage est ma bravoure,
Uni dans ton amour ;

Apparition bénie,
La chance m’a souri,
L’adoration prend vie,
En tout ce que je prie ;

Ton existence est un miracle,
Et j’en ai fait mon oracle,
Esprit de feu qui vit en moi,
Sois toujours mon ami et ma joie.

Germe

Râleries, fourberie, exigences des envies,
L’amour manipule tant d’esprits,
Que même si son respect souvent maudit se rebelle à la vie,
L’amertume aussi l'envie à qui Dieu l'a promis,


Pourquoi l’amour a-t-il tant d'écorchés vifs,
C’est ce que médite en retour cette femme aux airs lascifs,
Et si elle aime sa beauté, elle n’est pas la seule à pleurer,
Parmi les hommes dont la prière a accusé de mensonge,
Cette divinité de l’esprit qui nous torture et nous ronge,


Écoute battre ton cœur, n’aie pas peur, tu peux encore y croire,
Tu as droit au bonheur, même si l’espoir fait vivre entre dégoût et volupté,
Ta bonne étoile étincelle et ton esprit commence à germer.

Éveil

L’amour est parfois incrédule de ses plus belles surprises,

Ce que l’on ressent à espérer retrouvé à resplendir ,

En ne sachant choisir d’autre ivresse que d’en rire,

Et les cadeaux du ciel qui glissent dans la couleur du coeur,

Brillent au soleil des envies de bonheur...

Liberté amoureuse, sentiment de gratitude,

Ma solitude se perd dans ses mauvaises habitudes,

Mais je resterai serein en gardant ma bonne foi,

Je resterai fidèle à la déesse qui m’anime la voix,

Même si les fous violent une gaieté si intime en soi.

L’oubli et le traître éternel

Ne peuvent séparer la vie de l’éveil,

Même si je suis loin de ma belle...

Starlette

Fille sincère, rire franc, et momeries enjouées

Elle aime la pureté, son amant qu’elle délasse,

Belle soignée, cool-girl jusqu'à l'auréole qu'elle replace,

La rumeur court et fait d'elle un beau lièvre véloce,

Femme qui se donne l'âme aimante aux courbes d'éros,


Elle vit, elle déconne, elle rit dans l’excitation,

Soulagée de désirs assurés de satisfaction,

Fleurie dans ses rituels sensés de sentiments d'union,

Elle se sent sexy sur le temps bien rythmé des chansons,

Connivences partagées, l’attraction dérivée invitée à la raison...

Lumière indomptable des papillons des nuits

Elle leur passe les ailes sur l’esprit,

Comme l’appel d’un cœur heureux revenu à la vie,

Perturbant effleurement, de ses nerveux petits cris,

Elle court à tous vents, elle traverse au feu vert,

Elle se roule par terre, comme elle sait plaire à sa mère,


Les chats de gouttière se collent contre elle,

La lune brille dans la rue, la berlue dans sa traine,

Ce soir m’a dit Pierrot, ça sent le musc et l’entraînement,

Il va y avoir du sport, de la sueur, follement,

Cette fille-là sait amuser le désir secrètement,

J’ai juste peur de la savoir prisonnière de mon bonheur persistant,

Quand son âme est celle d’une déesse en cage,

Femme fatale, elle s’excite au danger dans sa rage,

Elle m’ensorcelle de peurs, de craintes étrangères,

L’expansion de son âme se libère,

Elle dilate ses tensions, sa gueule d’atmosphère,

Starlette couronnée dans sa chute de reins,

Elle colle son bassin, aux amis à quatre mains,

Elle engendre le vif qu’elle se donne,

Elle embrase mes yeux qui détonent,

L’humiliation, comme la fierté de son corps,

Me rend con, me fait passer par-dessus bord,

J’ai juste chaud à coups de folie,

L’envie de vivre à l’infini,

La puissance d’instinct, que j’ai cultivé pour elle,

Sans attaches, pour ce qu’elle jette aux mortels...


Pour un rire gai l’âme pure, le corps terrassé,

Le plaisir sacré ne sera-t-il qu’un amour passager ?

Pourquoi le vivre à la dure, pourquoi le violer,

Pourquoi tromper la vérité de nos jardins secrets,

Intimes pour penser, ce moment fusionnel,

Ce jeu de tendresse, où l’envie sensuelle,

S’apaise complice d’entre-deux,

La séduction de l’extase pour gagner l’oiseau de feu.

Chartreuse

La vérité est ailleurs, là où ma liberté s’aventure,
Chacun son fou, et ses douleurs, pour chanter les cœurs purs ;

Le ciel bas tombe lourd sur les petits gris,
Si je pleure l’au-delà, la chartreuse me l’a promis,
Et la fille brumeuse me l’a dit :
Elles réveilleront les morts à la vie.

Mademoiselle liberté, si je suis celui que vous aimez,
Si vous m’avez jeté un sort, si vous voulez m’emporter dans la rivière enchantée,
Le feu follet doit luire, et filer droit photophore,
Soyez femme dans ma joie et mon effort,

Au bord du monde, là où mon cœur va se jeter aux contreforts des contresorts,
La forteresse de perle abrite mon désir, où vous pouvez vous réfugier la petite mort.

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